À Cucuta, en Colombie, le principal point d’entrée des migrants vénézuéliens qui fuient en masse leur pays, YoMaria ajoute qu’elle ramasse souvent des billets que les gens jettent. « Qu’est-ce qu’on peut acheter avec ça ? Rien », assure-t-elle devant des paquets d’argent. Cette Vénézuélienne a trouvé une solution pour rentabiliser quelque peu ces papiers sans valeur. Avec ces liasses, elle fabrique des porte-monnaie tissés avec les billets de banque. Quelque 36 billets lui servent à la fabrication d’un porte-monnaie… qu’elle vend l’équivalent d’1,50 euro.

Source : VIDEO. « On était riches mais on ne le savait pas » : au Venezuela, la monnaie ne vaut plus rien


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