Chaque visiteur doit montrer patte blanche avant de quitter l’hôpital. Officiellement pour éviter les vols de médicaments et d’équipements. « Une aberration », souffle Laura, infirmière trentenaire, officiant depuis plusieurs années dans l’établissement et qui ne dira pas son vrai nom par peur de représailles. « C’est simple, nous manquons de tout, il n’y a plus rien, ni antibiotiques ni ustensiles. »
Source : Au Venezuela, le système sanitaire s’est effondré, « plus rien ne marche »
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