Le bilan apocalyptique de l’expérience bolivarienne est une véritable bombe nucléaire psycho-politique non seulement pour la gauche vénézuélienne, mais pour la gauche continentale, même si ses effets hors du Venezuela sont à retardement et à géométrie variable selon les pays.
Il faut regarder la réalité en face : le « socialisme », la « révolution », l’« anti-impérialisme » sont aujourd’hui des mots obscènes au Venezuela, et sans doute le resteront-ils pour au moins vingt-cinq ou trente ans.
Source : La gauche et les faux semblants de la crise vénézuélienne – Barril.info
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