On a du changer certaines habitudes, me glisse-t-il. Mais pour rien au monde, on arrête de faire la fête. Si les médias te disent qu’au Venezuela on meurt de faim, tu pourras toujours leur répondre qu’on n’y meurt pas de soif ». Lisez le 5ème chapitre de la série “Chroniques d’en bas” par Romain Migus.
Source : Vendredi soir à Caracas | Investig’Action
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