Au Venezuela, le bolivar, la monnaie locale, ne fait plus le poids face au dollar que l’on retrouve partout, jusqu’au marché de Petare à Caracas, plus grand bidonville du pays. Le bolivar est si rare, que parmi la myriade de stands, beaucoup ont recours au troc.
Sur le rebord du trottoir, Josmel, 28 ans, a étalé à côté de lui des paquets de pâtes, de riz et de farine de maïs. « Beaucoup de gens troquent de la nourriture avec moi car ils préfèrent utiliser le peu d’argent qu’ils gagnent pour d’autres produits essentiels, comme du savon ».
Source : Venezuela. Avec la crise économique, ils sont obligés de faire du troc pour pouvoir manger