Une économie corsetée par l’extractivisme, portée et limites de « l’empowerment » politique véhiculé par le processus bolivarien, une inflexion rapide de la popularité du dauphin de Chávez : autant de points analysés par Federico Tarragoni, sociologue et directeur du Centre de recherches interdisciplinaires sur le politique (CRIPOLIS) à l’Université Paris Diderot.

Source : « La révolution bolivarienne a impulsé la politisation des classes populaires, (…) – Barril.info


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