La scène se déroule entre le 7 et le 8 juillet, 48 heures au cours desquelles les forces de l’ordre et la bande criminelle du quartier populaire de la Cota 905, qui contrôlait quatre « barrios » dans le centre-ouest de Caracas, se sont affrontées avant que la police n’investisse la zone avec le déploiement de 2.500 hommes.

Epilogue sans doute provisoire d’un feuilleton de violence qui, cette fois, a officiellement fait 22 morts parmi les « délinquants », quatre parmi les policiers, sans compter des habitants tués ou blessés sans qu’on en connaisse le nombre.

Avec 12.000 morts violentes par an, selon l’ONG Observatoire vénézuélien de la violence, le Venezuela est un des pays les plus dangereux au monde.

Source : 48 heures sous les balles dans les « barrios » du Venezuela – L’Express