Vannesa Rosales, qui a épaulé une fille de 13 ans victime d’un viol en lui fournissant des médicaments pour mettre fin à sa grossesse non désirée, risque 4 ans de prison. Au Venezuela, où au moins deux femmes meurent chaque semaine des suites d’un avortement non sécurisé, des ONG se mobilisent.
Au Venezuela, une nouvelle campagne de soutien à Vannesa Rosales a été lancée. Un collectif de 165 ONG nationales et internationales, qui dénonce le « harcèlement judiciaire » dont l’enseignante travailleuse sociale et féministe de 31 ans est victime, plaide pour sa libération. Un soutien très visuel, que l’on découvre sur les murs de Caracas.
Source : Venezuela : des murs aux couleurs des droits des femmes