« Je le mets au défi », affirme dans un entretien avec l’AFP, mercredi dans son appartement de Caracas, celui qui est reconnu comme président par intérim par une cinquantaine de pays, dont les Etats-Unis, depuis la présidentielle contestée de 2018, entachée de fraudes.
Juan Guaido dit n’avoir « aucun doute » qu’en cas d’élection avec « un minimum de crédibilité (…) l’alternative démocratique gagnerait 80-20, 70-30 ». « Un calendrier électoral » pour une présidentielle anticipant celle prévue en 2024 serait « une véritable issue à la crise » politique que traverse le pays.
Cette question « fait partie du processus » de négociations qui s’ouvrira le 30 août entre pouvoir et opposition, dit-il.