Le départ de cette entreprise affecte particulièrement le Venezuela notamment parce que début septembre, il ne restait déjà plus que trois enseignes qui produisaient des pneus dans le pays. Goodyear donc, Pirelli qui est parti il y a deux mois et Bridgestone qui se retrouve aujourd’hui en situation de monopole. L’usine de Goodyear ne tournait qu’à 20% de ses capacités ces dernières semaines, mais elle assurait pourtant presque deux tiers de la production nationale. L’effet est donc immédiat : il y a moins de pneus au Venezuela, et leur prix explose.

Source : Au Venezuela, le départ de l’équipementier Goodyear provoque une pénurie de pneus


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