Alors que le gouvernement tente de mettre en place un programme d’accueil et que les chiffres des migrants vénézuéliens ne cessent de croître (plus de deux millions), des maisons d’accueil éphémères ou solidaires à l’initiative de citoyens fournissent un peu d’aide. Pour le moment, malgré l’annonce du document Conpes, dont l’objectif est de faciliter l’accueil des Vénézuéliens, il n’existe pas encore de refuge officiel géré par une ONG ou institution.
A Tunja près de la capitale Bogota, une Vénézuélienne a donc monté son propre refuge. Anny Uribe fait face aux difficultés et à la douleur de ses compatriotes. Chaque jour près de 200 migrants épuisés et détruits sont hébergés dans son refuge.
Source : RFI
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