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Après les élections présidentielles vénézuéliennes du 14 avril, qui ont vu le candidat chaviste Nicolas Maduro l’emporter de justice sur Henrique Capriles, la droite a déclenché une vague de terreur afin de renverser le gouvernement par la violence.

 

Ainsi, durant la campagne électorale, des sabotages dans l’approvisionnement en courant et dans l’économie ont été commis par « des infiltrants dans l’appareil de l’État » et par des groupes « qui disposent toujours, aujourd’hui encore, d’un grand pouvoir économique ». « C’est ce qui a poussé la partie hésitante de la population, lors des élections, à passer dans le camp de Capriles. Celui-ci a jeté également de la poudre aux yeux du peuple, en s’habillant de la même façon que Chavez, suivant en cela les conseils de ses amis gringos. Il a repris son discours, a utilisé ses symboles et a prétendu que ses plans étaient les mêmes que ceux de Chavez. Des gens sont tombés dans le panneau mais cela ne veut pas dire pour autant qu’il s’agit de voix perdues. Ce sont des électeurs que nous pouvons regagner, maintenant qu’ils ont assisté à ces violences. Mais, si Capriles avait gagné, une guerre civile aurait éclaté », a encore mis en garde Adán Chávez.

 

La chavisme a prouvé qu’il pouvait compter sur 5,5 millions de voix « pures et dures ». « Nous l’avons remporté dans 71 % des municipalités et c’est un bon signe pour les prochaines élections municipales. Et, là où nous avons perdu, c’était chaque fois avec une différence minime », a encore ajouté le frère du président disparu Hugo Chavez.

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