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Une semaine après Nicolás Maduro, Henrique Capriles vient de passer dans ma ville, Mérida, pour y lancer son discours de circonstance, histoire de chauffer à blanc ses partisans à quatre jours du scrutin. Il y avait pas mal de monde, il faut dire. Il est vrai que l’état de Mérida est l’un des trois états où Hugo Chávez n’a pas eu la majorité aux élections d’octobre 2012. Dans cette ville universitaire, le chavisme n’a jamais eu vraiment la cote.

 

L’ambiance dans la ville est restée surchauffée après le grand rassemblement. Cela grouillait partout de drapeaux, de casquettes, de t-shirts aux couleurs de l’opposition.

 

À peine rentré chez moi, ambiance encore :  j’ai eu droit à un débat plus qu’animé entre maduristes etcaprilistes qui se lançaient des invectives d’un côté à l’autre de la cour intérieure de l’immeuble à appartements où je vis.

Je vous en donne ici la primeur, presqu’en direct.

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