A l’époque, le pétrole et l’argent coulent à flots sous la dictature de Marcos Perez Jimenez. Les projets architecturaux se multiplient au cours de la décennie, faisant de Caracas l’une des villes les plus en vue dans le monde pour son urbanisme.
Pétrole, boom économique, grands travaux de la dictature : aujourd’hui minée par la crise économique et parsemée de bidonvilles, Caracas fut pourtant dans les années 1950 à l’avant-garde de l’architecture, avec des réalisations signées par des créateurs de renommée mondiale.
En une décennie magique, la capitale vénézuélienne a vu naître des joyaux: l’Université centrale du Venezuela, classé au Patrimoine mondial, « l’oeuvre totale » de la Villa Planchart du designer italien Gio Ponti, ou encore l’hôtel Humboldt, bijou Bauhaus.
Source : Quand Caracas, la capitale du Venezuela, était à la pointe de l’architecture dans les années 1950