Moins d’un kilo pour une chemise pare-balles. A peine 1,7 pour la veste «Classic» qui stoppe les tirs de mitraillette. Au Venezuela, deuxième pays le plus violent au monde, on ne lésine pas pour se prémunir d’une criminalité galopante.
Miguel Caballero, styliste colombien connu pour ses vêtements anti-balles, explique par téléphone à l’AFP qu’au cours des sept derniers mois, 20 à 30% de ses clients achètent ses modèles pour les utiliser au Venezuela.
Vêtements renforcés mais aussi véhicules blindés, gardes du corps… Ces coûteuses extrémités étaient autrefois réservées aux présidents ou à des artistes comme Ricky Martin. Mais avec quasiment quatre enlèvements par semaine, selon le gouvernement, et 65 meurtres par jour, d’après des ONG, l’épidémie se répand et touche tout le monde.

Source: www.20minutes.fr

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