Depuis le printemps, Caracas ne publie plus de données officielles relatives à la hausse des prix ou à la croissance.
Ce silence traduit, pour l’opposition, la volonté de dissimuler une détérioration marquée par des pénuries croissantes.
Les prix montent régulièrement au Venezuela. La valse des étiquettes est quotidienne, alors que les biens de base se font rares dans les rayons des supermarchés. Mais mesurer l’ampleur du problème est difficile : depuis plusieurs mois, les autorités font la grève des statistiques.
Source: www.la-croix.com
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