Ce quotidien vénézuélien n’hésite pas à critiquer le pouvoir. Créé en 1943, c’est l’un des journaux plus lus au Venezuela (280 000 exemplaires le dimanche). Dirigé par Miguel Henrique Otero, petit-fils de l’un des fondateurs, El Nacional a été très critique envers le défunt président Hugo Chávez et l’est toujours à l’égard du gouvernement de son successeur, Nicolás Maduro.
A la mi-janvier, le journal lui a adressé un communiqué demandant qu’il prenne des mesures pour faciliter le travail des médias. Le quotidien ne peut pas acheter les dollars nécessaires pour payer ses fournisseurs étrangers de papier (le pays n’en produit pas). Cette situation menace l’avenir de la presse écrite dans son ensemble.
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