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En Amérique latine, les canons de beauté féminins sont très fantasmés : en plus d’être minces, bien habillées, impeccablement maquillées et coiffées, les demoiselles apprécient particulièrement les poitrines généreuses. Au Venezuela, les filles ont très souvent recourt à des augmentations mammaires : certaines se feraient même offrir l’opération pour leurs 15 ans, la fête de « quinceañera ».

Les grosses poitrines y sont d’ailleurs tellement adulées qu’un fabricant de mannequins en a fait sa signature : déçu par ses ventes, Eliezer Álvarez a décidé d’appliquer ces standards de beauté à ses mannequins de boutiques. Résultat : des poupées aux mensurations inhumaines avec une poitrine énorme, des jambes très longue et une taille très fine. En très peu de temps, les mannequins se sont retrouvés dans les vitrines de tout le pays et les ventes ont explosé.

Cette initiative banalise complètement le recours à la chirurgie esthétique et encourage encore plus les demoiselles à atteindre un idéal de beauté irréel en se faisant augmenter la taille de leur seins (parfois de façon démesurée, ce qui peut être dangereux puisque c’est une opération très délicate). Entre le diktat de la minceur, l’influence de la chirurgie plastique et l’importance d’être toujours belle… pas facile d’être une fille au Venezuela !

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