A l’approche des élections du 8 décembre, l’opposition vénézuélienne soutenue et financée par des « éléments extérieurs » utilise tous les moyens pour déstabiliser le pays.
Ces derniers mois, le gouvernement vénézuélien, dirigé par le président Nicolas Maduro, a signalé de nombreux cas de sabotage du système électrique du pays, accompagné d’une campagne soutenue pour saper l’économie de la nation. La majorité des médias à l’échelle internationale, ainsi que par les médias privés du Venezuela, se sont moqués des graves allégations du président vénézuélien. Ils ont plutôt tenté de mettre sur le dos du gouvernement tout ces dommages causé au pays.
Cependant, un document* interne de trois organisations, en Colombie et aux États-Unis, révèle un plan particulièrement vicieux contre l’Etat vénézuélien afin de provoquer de la violence dans le but de justifier une intervention internationale avant les élections communales du 8 décembre. Les auteurs de ce texte proposent de « créer la crise dans les rues pour faciliter l’intervention des forces américaines et de l’OTAN, avec le soutien du gouvernement de la Colombie ».
L’une des faces visibles des tentatives de déstabilisation du gouvernement Chavez est l’ancien président de la Colombie, Alvaro Uribe. L’ex-président colombien a terminé sa présidence en 2010 en appelant à une intervention internationale au Venezuela avec l’intention d’éliminer le président Chavez et sa révolution bolivarienne. Uribe a passé des années à diffamer le président Chavez et son gouvernement et à renforcer des liens avec les secteurs anti-Chavez à l’intérieur et à l’extérieur du Venezuela. La mort du président Chavez en mars 2013 n’a pas empêché Uribe de poursuivre son action contre la souveraineté du Venezuela.
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