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Avec Hugo Chavez, décédé mardi soir, la gauche latino-américaine «anti impérialiste» a perdu son phare et son héros. Nul n’a su mieux que lui pourfendre l’hégémonie des Etats-Unis, comparant même, lors d’un discours à l’ONU en 2006, l’ancien président américain George W Bush au diable (avant de se signer). Mais au-delà de cette posture d’imprécateur, le président du Venezuela a surtout réussi à fédérer les pays de la gauche radicale dans la région et y asseoir son influence  grâce, certes, à sa personnalité et à sa révolution socialiste du XXIe siècle, mais aussi à deux leviers essentiels: son alliance initiale avec Cuba et ses pétrodollars.

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