Comme dirait le politologue Stéphane Rozès, la mort de Hugo Chavez en dit long sur l’imaginaire politique français. Sous des dehors parfois prudents, les réactions sont presque aussi binaires que la lutte éternelle du diable et du bon dieu. A l’extase de Frère Mélenchon, qui s’exprimait hier à pleine gorge, et quasiment à longs sanglots, s’oppose une sainte grimace, qui fait la petite bouche en parlant du Commandante, et constate avec des airs sous entendu, comme si ça avait un rapport, que Chavez est mort le même jour que Staline…
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