Le 1ᵉʳ mai 2006, Hugo Chávez, alors président du Venezuela, déclarait : « Le socialisme ne se décrète pas, le socialisme se construit, et il se construit avec un peuple conscient, mobilisé et organisé ».

C’est la troisième fois que je visite le Venezuela et à chacune de ces occasions, j’ai observé la même réalité. La coexistence de deux types d’histoires qui s’entrecroisent et qui s’affrontent inévitablement dans le pays : les histoires d’amour et les histoires de haine.

Les histoires d’amour ne sont pas parfaites. Les amants ne sont pas toujours d’accord, ils se disputent parfois ; cependant, ils se soutiennent et s’unissent quand il le faut. À l’inverse, il y a les histoires de haine, mais les plans des haineux ne se déroulent pas toujours comme prévu et ils sont aussi, souvent, réunis par ce sentiment.

Source : Du pouvoir populaire, de l’amour et de la politique de base : une leçon du Venezuela. |


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