Depuis sa réélection contestée, le président vénézuélien est toujours soutenu par la Chine, la Russie et Cuba. Mais le Brésil, la Colombie et le Mexique, dirigés par des présidents de gauche, ont appelé à une « vérification impartiale des résultats » de l’élection présidentielle du 28 juillet.
« Nous suivons avec une grande attention le processus de dépouillement des votes et nous lançons un appel aux autorités électorales du Venezuela pour qu’elles avancent avec célérité et publient les résultats détaillés par bureau de vote ». Dans un communiqué commun, le Brésil, la Colombie et le Mexique, dirigés par des présidents de gauche, ont appelé à une « vérification impartiale des résultats » de l’élection présidentielle contestée du 28 juillet.
Diplomatiquement, c’est un coup dur pour Nicolas Maduro car ces trois démocraties comptent parmi les pays latino-américains ayant de bonnes relations avec Caracas. Et le président ne pourra pas jouer la partition de l’ingérence impérialiste venant de ces trois pays « amis ».
Source : Au Venezuela, Nicolás Maduro lâché par la gauche latino – Laval.maville.com
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