Une enquête « sérieuse et crédible » sur la mort du missionnaire « au long sourire ». C’est ce que demande la communauté des Indiens Warao, de l’Etat du Delta Amacuro, dans l’est du Venezuela, afin d’éclaircir les circonstances de la mort du père Josiah Asa K’Okal, prêtre kenyan des Missionnaires de la Consolata.
Le corps du père K’Okal a été retrouvé pendu à un arbre le 2 janvier par des policiers dans une zone boisée de Guara, dans l’État de Monagas.Le missionnaire avait disparu le 1er janvier 2024, depuis qu’il avait quitté la maison de la congrégation dans le secteur de Paloma, municipalité de Tucupita, à vélo vers 9 heures du matin, laissant ses documents d’identité et son téléphone portable à la maison.
À 10 heures, il a salué les habitants du développement urbain indigène de Janokosebe sur un tronçon de la route nationale et a été vu pour la dernière fois vers 11 heures. Le père K’Okal, avait l’habitude de faire de l’exercice, une habitude acquise à l’époque où il était marathonien au Kenya, parfois en courant, parfois à vélo, faisant de longs trajets, rejoignant son travail d’évangélisation pour visiter les communautés qu’il servait.
Source : AMÉRIQUE/VENEZUELA- Le missionnaire kenyan de la Consolata retrouvé mort – Agenzia Fides
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