Selon le service colombien de l’immigration, 35 000 Vénézuéliens traversent chaque jour la frontière. Un exil sans précédent.

La sécheresse a fait baisser le niveau du rio Tachira, mais pas le flot des exilés. Ceux qui n’ont pas de papiers affrontent le courant. Les autres empruntent le pont Simon-Bolivar : dans une file interminable, des médecins, des professeurs, des artisans, des grand-mères à béquilles, de futures mamans… un pays tout entier.

Source : Venezuela, les photos de l’exode


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