En réalisant qu’il lui faudrait quatre mois de salaire pour réparer ses vieilles chaussures, le sang de José Ibarra, professeur d’université au Venezuela, ne fait qu’un tour: il partage son histoire su Twitter, déclenchant une vague de solidarité. »Je n’ai pas honte de le dire: c’est avec ces chaussures que je me rend à l’UCV (Université centrale du Venezuela) pour enseigner. Mon salaire de professeur d’université n’est pas suffisant pour faire changer la semelle », écrit fin juin cet homme de 41 ans sur son compte @Ibarraorellanes.
Source : Au Venezuela, la colère d’un professeur mal chaussé – Le Point
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